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Mieux comprendre les aides existantes

Parce que les situations sont toutes différentes, notre partenaire, CetteFamille, vous informe des aides financières et sociales existantes.

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Maison partagée, accueil familial, résidence services et bien plus encore : Découvrez les habitats alternatifs qui correspondent au mode de vie de votre proche.

De précieux conseils pour votre recherche

Découvrez notre rubrique Les Essentiels, un guide pour les aidants cherchant des réponses concrètes et pratiques lorsque vient le moment de trouver un logement pour son proche.

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Les aides

Les différents types d'aides

Allocation Personnalisée d'Autonomie (APA)

L'Allocation Personnalisée à l'Autonomie (APA) est une allocation destinée aux personnes âgées de 60 ans et plus en situation de perte d'autonomie. Il existe deux formes d'APA : l'APA à domicile et l'APA en établissement. 

  • L'APA à domicile vise à financer tout ou une partie des aides nécessaires au maintien à domicile ainsi qu'à l'accomplissement des actes essentiels de la vie quotidienne, tels que se lever, se laver ou encore s'habiller. Ces dépenses sont établies dans le cadre d'un plan d'aide personnalisé. Elles peuvent englober des prestations d'aide à domicile, l'acquisition de matériel (comme la téléassistance, des barres d'appui, etc.), l'accueil temporaire, ainsi que les frais de transport, entre autres.
  • L’APA en établissement aide à payer le tarif dépendance facturé aux résidents des EHPAD (établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) et des USLD (unités de soins de longue durée).


Quelles sont les conditions d'attribution ?

Pour bénéficier de l’APA , il faut :

  • Etre âgé de 60 ans ou plus,
  • Résider en France de façon stable et régulière,
  • Être en perte d’autonomie reconnue, c’est-à-dire relever d’un Groupe-Iso-Ressources (GIR) situé entre 1 et 4. (voir "Les Essentiels") Le GIR est déterminé par un professionnel du Conseil Départemental et permet d’évaluer le degré d’autonomie d’un individu vis-à-vis de sa capacité à réaliser certains actes de la vie quotidienne. 


Comment demander ?

Un dossier de demande d’APA peut être retiré auprès des services « autonomie » du département, d’un point d’information pour les personnes âgées, de la mairie ou encore du CCAS.

Quel est le montant accordé ?

Toutes les personnes âgées de plus de 60 ans en perte d’autonomie peuvent bénéficier de l’APA à domicile quels que soient leurs revenus. Au-delà de 815,84 € de ressources mensuelles, une participation progressive aux dépenses inscrites dans le plan d’aide sera demandée. 

Une fois la demande envoyée, un professionnel du service autonomie du Conseil Départemental vient au domicile du demandeur pour identifier ses difficultés dans la vie de tous les jours. Il va évaluer son degré d’autonomie afin de lui attribuer un GIR. 

Après la visite du professionnel, si le demandeur est éligible à l’APA à domicile, un plan d’aide lui sera proposé. 

Ces aides peuvent être de l’aide à domicile pour la toilette, de l’aide au transport, de l’aide pour aménager le logement, de la téléassistance… 

Prestation de Compensation du handicap (PCH)

La prestation de compensation du handicap est une aide financière versée par le département. Elle permet de rembourser les dépenses liées à la perte d'autonomie de votre proche.

La PCH comprend 5 formes d'aides :
1. Humaine
2. Technique
3. Aménagement du logement ou transport
4. Aide spécifique ou exceptionnelle
5. Animalière

Son attribution dépend du degré d'autonomie, de l'âge, des ressources et de la résidence de votre proche. 

 

Quelles sont les conditions d'attribution ?

Pour être éligible votre proche doit être dans l'une des situations suivantes :

  • Faire face à une incapacité totale à accomplir une activité essentielle de la vie quotidienne, telle que se laver, sans aucune assistance. Cette incapacité est qualifiée de totale lorsque votre proche est dans l'incapacité complète de réaliser cette activité.
  • Eprouver des difficultés significatives dans l'accomplissement d'au moins deux activités essentielles de la vie quotidienne parmi un ensemble défini d'activités (par exemple, se laver et marcher). Ces difficultés sont considérées comme graves lorsque la personne a du mal à accomplir ces activités.

La PCH est octroyée sans condition de ressources. Cependant, les ressources de votre proche sont prises en compte pour déterminer le taux de prise en charge de ses dépenses visant à compenser sa situation de handicap. 

Ainsi, ses dépenses sont couvertes à 100 % de leur tarif si ses ressources annuelles sont inférieures ou égales à 29 061,72 €, ou à 80 % si elles excèdent ce montant.

Votre proche peut bénéficier de la PCH, qu'il réside à son domicile ou en établissement.

Comment demander ?

La demande doit être envoyée par lettre recommandée avec accusé de réception à la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH) du département où réside votre proche. 

Quel est le montant accordé ?

La PCH est une prestation conçue pour compenser les dépenses engendrées par la situation de handicap ou de dépendance, qu'elles soient régulières ou ponctuelles. Le montant de la PCH est ainsi calculé en tenant compte des besoins spécifiques de votre proche ainsi que de ses revenus. 

A noter : Pour chacun des cinq types d'aides, le montant est plafonné :
- en heures pour l’aide humaine
- en euros pour les autres aides

Aide Sociale à l'Hébergement (ASH)

L'Aide Sociale à l'Hébergement est une aide destinée à couvrir tout ou partie des frais d'hébergement d'une personne âgée résidant en établissement ou chez un accueillant familial.

Le conseil départemental prend en charge la différence entre le montant de la facture de l'établissement et la contribution de la personne, voire celle de ses obligés alimentaires.

Les montants d'ASH versés par le conseil départemental peuvent être récupérés du vivant de la personne bénéficiaire, ainsi qu'après son décès.

Il est important de souligner que l'ASH ne peut être octroyée que si l'établissement choisi dispose de places autorisées à recevoir des bénéficiaires de l'ASH. 


Quelles sont les conditions d'attribution ?

Pour être éligible à l'Aide Sociale à l'Hébergement, il est nécessaire de remplir les conditions suivantes :

  • Avoir plus de 65 ans (ou plus de 60 ans en cas de reconnaissance d'inaptitude au travail).
  • Résider de manière stable et régulière en France ou posséder un titre de séjour en cours de validité.
  • Disposer de ressources inférieures au montant des frais d'hébergement.


Comment demander ?

Vous devez déposer votre dossier de demande d'admission à l'ASH auprès du CCAS (Centre Communal d'Action Sociale) ou de votre mairie, qui transmettra ensuite le dossier au conseil départemental. En raison des délais de traitement, il est conseillé de faire votre demande d'ASH en parallèle des démarches d'admission en établissement.

Quel est le montant accordé ?

L'ASH est versée par le Conseil Départemental, et chaque département établit sa propre réglementation en matière d'aide sociale. Par conséquent, les montants peuvent varier d'un département à l'autre. 

La décision d'attribution est notifiée à la personne âgée ou à son représentant légal.

Si la demande est refusée, il faut faire un recours préalable par courrier simple auprès des services du département. Ce courrier peut également être déposé sur place.

Les services du département ont 2 mois pour répondre après la réception du courrier. Si la demande est à nouveau refusée, un recours peut être formé auprès du tribunal administratif. 

Allocation de Solidarité aux Personnes Âgées (ASPA)

L’Allocation de Solidarité aux Personnes Âgées (Aspa), appelée également minimum vieillesse, est versée par la caisse de retraite, aux retraités ayant de faibles ressources. Elle est soumise à des conditions de ressources et le montant dépend de votre situation familiale. 

 

Quelles sont les conditions d'attribution ?

Votre proche peut bénéficier de l'ASPA s'il remplit l'une de ces conditions :

  • Être âgé de 65 ans ou plus, ou avoir au moins 62 ans s'il est reconnu inapte au travail ou avec une incapacité permanente d'au moins 50 %, dont il faudra justifier.
  • Être retraité ou percevoir une retraite anticipée pour handicap.
  • Percevoir une retraite ou une pension de réversion.
  • Les ressources de votre proche ne doivent pas dépasser 11 532,96 € de ressources annuelles pour une personne seule, et 17 904,96 € pour un couple (les plafonds sont réévalués chaque année).
  • Le domicile permanent de votre proche doit être en France, ou il doit pouvoir prouver que son lieu de séjour principal est situé sur le territoire français, en justifiant d'un séjour de plus de 6 mois en France sur l'année.


Comment demander ?

  • S’il perçoit une retraite versée par la sécurité sociale, la demande doit être effectuée auprès de la CNAV (Caisse nationale d'assurance vieillesse).
  • Si sa retraite est versée par la MSA (Mutualité Sociale Agricole), elle devra être adressée à la MSA.
  • S’il ne peut pas prétendre au versement d’une pension de retraite ou une pension de réversion, votre proche peut faire une demande de SASPA (service d'allocation de solidarité aux personnes âgées) auprès de sa mairie. 

Si votre proche reçoit plusieurs retraites, il faut déposer sa demande par ordre de priorité :

  1. Au régime des non-salariés agricoles, s’il est titulaire d'une retraite à ce régime et s’il a la qualité d'exploitant agricole à la date de sa demande d'ASPA
  2. Au régime général, si cet organisme lui verse une retraite
  3. À l'organisme qui lui verse la retraite la plus élevée à la date de la demande d'ASPA


Quel est le montant accordé ?

  • Si votre proche vit seul, le montant accordé est égal à la différence entre le montant annuel brut maximum de l'ASPA (​11 533,02 € ) et le montant de ses ressources annuelles.
  • Si votre proche est en couple et qu'il est le seul à percevoir l'ASPA : le montant accordé est également égal à la différence entre le montant maximum de l'ASPA correspond à une personne seule (11 533,02 euros)
  • Si votre proche est en couple et que chacun touche l'ASPA: le montant accordé est égal à la différence entre le montant maximum de l'ASPA autorisé pour un couple (​17 762,96 €) et les ressources du couple.


La somme sera versée à partir du 1er jour du mois de réception de la demande. 

Les aides dont peut bénéficier votre proche (aide personnalisée au logement, prestation de compensation handicap, allocation personnalisée d'autonomie, etc.) ne sont pas prises en compte dans le calcul du total de ses revenus. 

Aide Personnalisée au Logement (APL)

L'aide personnalisée au logement (APL) est une prestation sociale accordée en France pour aider les personnes à faibles revenus à payer leur loyer ou leur redevance en établissement. Elle est versée par la Caisse d'Allocations Familiales (CAF) ou la Mutualité Sociale Agricole (MSA) en fonction de votre situation. 


Quelles sont les conditions d'attribution ?

Pour pouvoir bénéficier des aides au logement :

  • Aucun âge requis minimum 
  • Il faut être en situation régulière sur le territoire français.
  • Être locataire, colocataire ou sous-locataire déclaré au propriétaire d’un logement d’habitation loué meublé ou non
  • Être hébergé chez des accueillants familiaux agréés par le conseil départemental.
  • Le logement doit constituer la résidence principale. 


Comment demander ?

La demande des aides au logement se fait auprès de la CAF (caisse d’allocations familiales) ou de la MSA (mutualité sociale agricole) pour les personnes qui relèvent de ce régime de protection sociale.

Quel est le montant accordé ?

Pour faire l’estimation des aides au logement à domicile, vous pouvez faire une simulation sur le site de la CAF.

Les personnes âgées qui vivent en établissement peuvent percevoir une aide au logement. Les aides au logement sont des aides financières destinées à réduire la dépense de logement. 

Crédit d'Impôt

Les dépenses engagées pour l'intervention d'un salarié à domicile ouvrent droit à un crédit d'impôt, c'est notamment le cas pour les activités relevant de l'assistance aux personnes âgées ou en situation de handicap. 


Quelles sont les conditions d'attribution ?

Qu'importe votre statut, que vous soyez salarié, sans emploi ou retraité, si vous employez un salarié à domicile, vous pouvez bénéficier de ce dispositif. Pour en bénéficier, le salarié doit intervenir, indifféremment, au sein de votre résidence principale ou secondaire, que vous en soyez propriétaire ou non.

Comment demander ?

Au moment de votre déclaration annuelle de revenus, vous devez reporter le montant des dépenses occasionnées par l’emploi de votre salarié à domicile. Le montant de votre crédit d’impôt sera calculé par l’administration fiscale et apparaîtra sur votre avis d’imposition.

Quel est le montant accordé ?

Le crédit d’impôt s’élève à 50 % des dépenses engagées pour les prestations de services à la personne dans la limite d’un plafond qui varie entre 12 000 € et 20 000 € par an selon votre situation. 

Jusqu’en décembre 2021, les particuliers employant un salarié à domicile versaient la totalité du salaire à leur employé avant de pouvoir bénéficier du crédit d’impôt lors de leur déclaration de revenus l’année suivante, sous déduction d’une avance de 60 % qui leur était versée au mois de janvier.

Grâce à l’avance immédiate de crédit d’impôt, celui-ci peut être immédiatement déduit des montants dus : vous ne réglez que 50 % des sommes à payer (salaires et charges sociales).

Il s'agit d'un service, optionnel et gratuit, que vous devez activer depuis la plateforme CESU+ de l'Urssaf. 

Congé proche aidant

Le congé proche aidant permet à l'aidant de réduire ou cesser de travailler temporairement pour s’occuper de son proche en perte d'autonomie, malade ou en situation de handicap, à condition d'avoir un lien étroit et stable avec ce dernier. 

 

Quelles sont les conditions d'attribution ?

Le congé proche aidant est ouvert à tous les salariés, aux indépendants et aux demandeurs d’emploi, résidant en France de façon régulière. Aucune condition d’ancienneté n’est exigée.
 
 Les salariés qui peuvent être concernés sont :

  • Ceux qui vivent en couple avec une personne qui présente un handicap ou une perte d'autonomie ;
  • L'ascendant ou descendant de la personne accompagnée, son enfant, un membre de sa famille jusqu'au 4ᵉ degré (frère, sœur, cousin.e germain.e, neveu, nièce, oncle, tante) ;
  • Ceux qui vivent avec la personne nécessitant un accompagnement, qui entretiennent un lien étroit et stable avec cette dernière et qui lui viennent en aide de manière régulière.

Pour obtenir le congé proche aidant, le proche que vous accompagnez doit : 

  • Être fortement dépendant, avec un taux d’incapacité supérieur à 80 %, ce qui indique des difficultés importantes dans la majorité des actes du quotidien (se lever, s’habiller, se laver, se nourrir…) ;
  • Être touché par une perte d’autonomie, avec un GIR (Groupe Iso-Ressources) reconnu entre 1 et 4, ce qui correspond au minimum à un besoin d’aide pour les soins corporels, voire une perte d’autonomie plus important;
  • Être en invalidité et bénéficier d'une rente suite à un accident du travail avec une majoration ou une prestation complémentaire de recours à une tierce personne. 


Comment demander ?

Pour bénéficier de ce congé, prévenez votre employeur au moins 1 mois à l’avance sauf urgence (hospitalisation ou dégradation subite de l'état de santé du proche, cessation du contrat d'hébergement en établissement du proche) par mail ou lettre en précisant :

  • Votre volonté de suspendre votre contrat de travail pour bénéficier du congé de proche aidant
  • La date souhaitée du départ en congé
  • Si vous souhaitez ou non fractionner le congé ou le transformer en temps partiel

Votre employeur ne peut pas refuser la demande. Si c'est le cas, vous pouvez faire appel au conseil de prud'hommes (CPH). 

Joignez à votre courrier une déclaration sur l’honneur de votre lien avec la personne aidée et une autre précisant que vous n’avez pas eu précédemment recours à ce type de congé.


Quelle est la durée accordée ?

Le congé de proche aidant a une durée de trois mois maximum (éventuellement plus si la convention de l’entreprise est plus favorable), renouvelable jusqu’à un an sur l’ensemble de la carrière. Il peut aussi être pris de façon fractionnée (par tranche d’un jour minimum).  
 

Quel est la montant accordé ?

Ce congé n'est pas rémunéré par l'employeur, mais l'aidant peut bénéficier de l'Allocation Journalière pour les Proches Aidants en guise de compensation. 
 

A noter : Il faut distinguer la durée du congé, et celle de l’allocation journalière. 
L’allocation ne peut être touchée que 22 jours par mois maximum, et 70 jours dans l’ensemble de la carrière. 

Allocation Journalière pour les Proches Aidants (AJPA)

L’Allocation Journalière pour les Proches Aidants permet de recevoir une compensation financière lorsqu’on doit arrêter son activité professionnelle, complètement ou partiellement, pour s’occuper d’un proche en perte d’autonomie, malade ou handicapé.  

Cette indemnité de remplacement du salaire est versée dans la limite de 66 jours, pour l’ensemble de la carrière. Le versement de cette aide est assez flexible. Il peut être étalé au choix : d’une seule traite ou ponctuellement sur certains jours et par journée ou demi-journées, en fonction du besoin d’accompagnement. 

 

Quelles sont les conditions d'attribution ?

Les conditions d'attribution de l'allocation dépendent des éléments suivants : 

  • Résider en France 
  • Être salarié ou fonctionnaire et avoir fait une demande de congé proche aidant à son employeur, ou être travailleur indépendant, stagiaire en contrat de professionnalisation rémunéré, bénéficiaire de l’allocation chômage mettant en suspens sa recherche d’emploi, représentant et placier (VRP), salarié d’un particulier ; 
  • Avoir un lien étroit avec la personne aidée ; 
  • Apporter son aide à une personne avec un taux d’incapacité égal ou supérieur à 80 %, validé par la Maison Départementale des Personnes Handicapée (MDPH) ou avec un degré de dépendance estimé par le conseil départemental en GIR 1,2 et 3 ;  


Comment demander ?

C’est la Caisse d’allocations familiales (Caf) qui se charge de verser l’allocation journalière du proche aidant (AJPA), à l’exception des bénéficiaires appartenant au régime agricole. Pour ces derniers c’est la Mutualité sociale agricole (MSA) qui a cette responsabilité. 

Demande via la Caf :  

Pour les personnes qui touchent déjà une quelconque allocation provenant de la Caf, la demande pour l’AJPA doit être effectuée sur le compte personnel en ligne en allant ensuite dans la rubrique "Simuler" ou "Demander une prestation" ;

Sinon la demande s’effectue via un formulaire disponible dans la rubrique Faire une demande de prestation, catégorie maladie et handicap. À partir de cette page, il faut sélectionner l’allocation concernée et créer son espace personnel, s’il n’a pas déjà été fait.

Demande via la MSA :
Pour effectuer la demande, il faut télécharger le formulaire, le remplir et le renvoyer à sa MSA avec les pièces justificatives demandées.
 

Quel est le montant accordé ? 

Depuis le 1er janvier 2023, le montant de l’AJPA est de : 

  • 62,44 euros net par jour; 
  • 31,22 euros net par demi-journée. 


Si les deux membres d’un couple sont aidants et remplissent les conditions d’attribution, chacun d’eux peut faire la demande et bénéficier de l’AJPA. 

Des stages de prévention pour vous maintenir en forme

Parmi les nombreux facteurs qui contribuent à bien vivre sa retraite, se maintenir en bonne santé constitue le premier socle d'une retraite heureuse. C'est pourquoi Esprit Retraite a mis en place, à l'attention de ses adhérents, de nombreux stages de prévention en matière de sommeil, nutrition, activité physique ou, plus largement, d'épanouissement personnel. 

Découvrez les et inscrivez vous selon vos aspirations !

Depuis 2003, nous avons développé des programmes de stage en immersion se déroulant sur plusieurs jours en hôtels Club.

Accompagnés de professionnels, vous pouvez vous concentrer sur votre développement personnel, sur vos projets et votre santé pour devenir des retraités actifs bien dans votre peau. Les stages s'articulent autour de 6 thèmes :

1. Nutrition, forme et santé 
2. Remise en mouvement
3. Retrouver un sommeil apaisé 
4. Optimise et épanouissement
5. Ressource et bien-être 
6. Bien vivre et être zen

 

Une allocation prévention pouvant aller jusqu'à  350€ est accordée aux membres participants des mutuelles partenaires comme Esprit Retraite. 

À réception du bulletin d’inscription (sur lequel doit figurer votre numéro d’adhérent), Esprit Retraite se charge d’obtenir l’accord de la mutuelle concernée. 

Le montant de cette allocation prévention est versé directement Esprit Retraite et vient donc en déduction du prix total du stage. 

Les différents habitats

Habitat partagé

Mode d'habitat non médicalisé dans lequel plusieurs personnes âgées ou des personnes en situation de handicap vivent ensemble dans une maison ou un appartement, partageant certains espaces et services.

Dans un cadre familial, chacun contribue à la bonne atmosphère au sein de la maison. Une équipe de professionnels veille au bien-être des colocataires en assurant une présence bienveillante et une aide pour les gestes de la vie quotidienne.

L'équipe sur place coordonne le passage d'intervenants extérieurs pour assurer un suivi médical et personnalisé 

Pour qui ?

Dédiées aux personnes âgées en perte d’autonomie physique et/ou cognitive, ou en situation de handicap ne souhaitant plus ou ne pouvant plus vivres chez elles. Les maisons accueillent des colocataires quelque soit leur niveau d’autonomie, qui ne nécessitent pas de suivi médical lourd. Les logements sont aménagés et conçus pour accueillir des personnes âgées en perte d'autonomie. 

Les habitats partagés accueillent les personnes seules ou les couples, ils peuvent aussi bien convenir pour un séjour permanant comme temporaire. 

Quel prix ?

Le loyer est modéré, chaque habitat partagé définit sont propre prix. Le coût mensuel moyen varie entre 1 500€ et 3 000€.  Généralement, le prix comprend : 

  • Loyer et charges 
  • Présence sécurisante
  • Blanchisserie
  • Repas
  • Animation
  • Téléassistance


A noter : Certaines aides existent pour réduire le montant mensuel à payer. 

Quelles aides accessibles ?

  • Allocation Personnalisée d'Autonomie - à domicile
  • Prestation de Compensation du Handicap 
  • Allocation Personnalisée au Logement 
  • Crédit d'impôt 

CetteFamille, partenaire privilégié, développe et gère un réseau de maisons partagées en France.
 
Expert de l'habitat partagé, CetteFamille vous accompagne pour trouver la solution qui correspond à vos besoins ou ceux de votre proche. 

Colocation intergénérationnelle

Dispositif d'entraide permettant à une personne âgée de plus de 60 ans disposant d’une chambre libre d’accueillir un jeune (de moins de 30 ans, le plus souvent un étudiant). Il peut le faire en échange d'une présence bienveillante, de menus services ou d'une contrepartie financière modeste. Ce dispositif est encadré par un contrat, et le binôme est accompagné par une association spécialisée comme Cohabilis.

Pour qui ? 

Des personnes âgées disposant d’une chambre libre qui ont envie de partager leur logement, d’avoir une présence rassurante, de rompre la solitude. Vous pouvez accueillir un jeune même si vous n’êtes pas propriétaire du logement, il faut seulement l’accord de ce dernier. 

Quel prix ?  

Il existe deux options : 

1. Chambre gratuite en échange d’une présence pour une aide ou un accompagnement (promener le chien, courses, …). 
Attention : le jeune ne doit pas accomplir de travail (ménage, repassage) ni service à la personne (aide à la toilette). Il ne remplace pas une auxiliaire de vie. 

2. Le jeune participe financièrement au loyer via une contribution modeste 

Quel contrat ? 

Encadrée par la loi Élan de novembre 2018, la cohabitation intergénérationnelle doit être encadré par un contrat reliant les deux partis au minima.

Ce document permet de donner un cadre juridique à cette solution d’hébergement. Bien que le modèle type de ce contrat n’existe pas, la personne âgée peut le rédiger en s’appuyant sur les conditions classiques d’une location ou d’une sous-location comme le préavis du bail ou encore le montant du loyer. 

La personne âgée peut être aidée par un organisme comme Cohabilis. 

Quelles aides ? 

  • Allocation Personnalisée à l'Autonomie - à domicile 
  • Allocation Personnalisée au Logement 

Vous souhaitez que votre proche vieillisse à domicile et vous voulez avoir la garantie d’être accompagné dans la démarche ? 

Cohabilis, partenaire privilégié, vous accompagne pour trouver la solution d'habitat intergénérationnel qui correspond au projet de vie de votre proche. 

Accueil Familial

L’accueil familial est un mode d’hébergement temporaire comme permanent, pour des personnes âgées ou en situation de handicap. Les personnes sont accueillies au sein d’une famille d’accueil agréée et formée par le Conseil départemental. 

Au-delà d’une solution de logement accessible, l’accueil familial est un mode d’hébergement fondé sur la confiance, la proximité et l’entraide, le tout dans un cadre chaleureux et bienveillant. 

Pour qui ?

Dédié aux personnes âgées en perte d’autonomie physique et/ou cognitive, ou en situation de handicap ne souhaitant plus ou ne pouvant plus vivres chez elles, ce mode d'hébergement convient aux seniors qui souhaitent partager une vie en communauté et bénéficier d’une aide pour les gestes de la vie quotidienne. 

La famille d’accueil met à disposition une chambre privée de minimum 9 m² par personne accueillie, un libre accès aux pièces communes comme la cuisine, la salle de bain et les toilettes, ainsi que des équipements adaptés à la perte d’autonomie. 

Quel prix ?

Solution à vocation sociale portée par les départements, le loyer est modéré avec des charges communes partagées, entre 1 000€ et 2 000€. 
Le coût varie selon la localisation, le niveau de dépendance de la personne accueillie, les prestations proposées, etc. 

Quelles sont les aides accessibles ?

  • Allocation Personnalisée d'Autonomie - à domicile
  • Prestation de Compensation du Handicap 
  • Allocation Personnalisée au Logement 
  • Crédit d'impôt 

CetteFamille, partenaire privilégié, gère le 1er réseau d'accueillants familiaux en France. 

CetteFamille vous accompagne pour trouver avec vous, la famille d'accueil qui répondra à vos besoins ou ceux de votre proche. 

Résidence Autonomie

Anciennement appelées « foyers logements », les résidences autonomie existent depuis les années 1960. Les résidences autonomie sont des ensembles de logements pour les personnes âgées, associés à des services collectifs. Souvent construites à proximité des commerces, des transports et des services, elles sont majoritairement gérées par des structures publiques ou à but non lucratif, et affichent des loyers modérés. 

Pour qui ?

Les résidences autonomie sont conçues pour accueillir dans un logement des personnes âgées majoritairement autonomes qui ne peuvent plus ou n’ont plus l’envie de vivre chez elles (à cause d’une baisse de revenus, de difficultés d’accès aux commerces, d’un sentiment d’isolement…).
Les résidences autonomie accueillent les personnes seules ou les couples.

Vivre dans une résidence autonomie permet de :

  • continuer à vivre de manière indépendante ;
  • bénéficier d’un environnement plus sécurisé ;
  • utiliser des services collectifs : restauration, ménage, animations… ;
  • avoir un loyer modéré.

Les résidences autonomie ne sont pas, en principe, destinées à recevoir des personnes qui ont besoin de soins médicaux importants ou d’une assistance importante dans les actes de la vie quotidienne.

Les soins médicaux et les soins courants des résidents sont réalisés le plus souvent par des intervenants extérieurs. Dans certaines résidences autonomie, du personnel médical est présent sur place comme des aides-soignants ou des infirmiers.

Quel prix ? 

Les résidences autonomie (ex-logements-foyers) ont une vocation sociale. Le coût des loyers est donc modéré. La facture se décompose en différentes parties :

  • le loyer ou redevance
  • les charges locatives
  • les frais liés aux prestations incluses (par exemple la prestation de restauration, en fonction du système proposé)
  • les frais liés aux prestations facultatives (par exemple les sorties extérieures)


A noter :  Selon le projet de la résidence autonomie, la prestation repas du petit déjeuner ou du dîner peut être incluse (livrée ou servie en salle) ou facultative (les logements sont équipés d’une petite cuisine). Lors de votre visite, renseignez-vous sur les prestations incluses dans le prix ou celles facturées en plus. 


Quelles aides ?

  • Allocation Personnalisée à d’Autonomie - à domicile
  • Aide Sociale à l'Hébergement - si la résidence est habilitée à recevoir des bénéficiaires de l'aide sociale à l'hébergement 
  • Aide Personnalisée au Logement

Même si leur fonctionnement est similaire, il est essentiel de ne pas confondre les résidences services et les résidences autonomie. 

Les résidences autonomie relèvent généralement du statut public, alors que les résidences services sont gérées par des structures privées.

Résidence Services

Les résidences services sont des ensembles de logements conçus spécialement pour les personnes âgées. Elles sont principalement situées en plein cœur des villes, à proximité des commerces, des transports en commun et des services. Les résidences services sont gérées par des structures privées ou associatives.

Pour qui ? 

Les résidences services sont spécialement conçues pour accueillir des personnes âgées autonomes, seules ou en couple, qui ne sont plus en mesure ou ne souhaitent plus résider dans leur domicile classique. 

La vie dans une résidence services  offre plusieurs avantages, notamment la possibilité de : 

  • continuer à vivre de manière indépendante 
  • bénéficier d’un environnement plus sécurisé, grâce à des services tels qu'une conciergerie, un service de gardiennage et l'utilisation de systèmes de domotique. 
  • profiter de services collectifs tels que la restauration, le service de ménage et diverses activités et animations. 

A noter : Les résidences services ne sont pas des établissements sociaux et médico-sociaux et ne sont généralement pas adaptées à l’accueil de personnes dépendantes. 

Quel prix ? 

Le prix d'une résidence services senior varie en fonction de plusieurs critères, tels que :

  • localisation
  • taille du logement 
  • services proposés

En moyenne, le coût mensuel d'une résidence services senior est compris entre 1 500 à 3 500 euros. 

Quelles aides disponibles ?

  • Allocation Personnalisée à d'Autonomie  – A domicile 
  • Aide Personnalisée au Logement

Même si leur fonctionnement est similaire, il est essentiel de ne pas confondre les résidences services et les résidences autonomie.

Les résidences autonomie relèvent généralement du statut public, alors que les résidences services sont gérées majoritairement par des structures privées. 

MARPA

Dans les années 1980, la Mutualité Sociale Agricole (MSA) lance le projet des Maison d'Accueil et de Résidence pour Personnes Agées (MARPA). 

La MARPA est une catégorie d'habitats appartenant à la classification des établissements ou services, social ou médicosocial (ESMS). Non médicalisés et à but non lucratif, elles peuvent accueillir au maximum 25 résidents. Les personnes âgées sont accueillies dans des logements privatifs, en milieu rural, et peuvent profiter d'espaces et de services communs. 

Pour qui ? 

La MARPA accueille des personnes âgées : 

  • de plus de 60 ans, seules ou en couple, autonomes et valides (GIR 5 et 6)
  • de moins de 60 ans, admises avec dérogation de l’autorité compétente (commission d’admission)

En cas de perte d’autonomie, le séjour peut être maintenu sous certaines conditions. La personne âgée peut aussi bien séjourner de façon temporaire que permanente. 

Quel prix ? 

Pour un appartement en MARPA, le résident doit verser un minimum de 900 euros par mois. Ce tarif comprend le loyer et les charges mutualisées. Comme chaque logement dispose d’une cuisine et d’une machine à laver, les prestations de repas et de blanchisserie sont optionnelles. 

Chaque prestation est clairement identifiée sur la facture mensuelle remise au locataire de l’appartement senior.
 

Quelles aides disponibles ? 

  • Allocation Personnalisée à d'Autonomie  – A domicile 
  • Aide Sociale à l’Hébergement 
  • Aide Personnalisée au Logement  

MARPA est devenu un label qui permet de garantir un prix accessible au plus grand nombre. Les implantations en milieu rural ainsi que la charte de qualité commune à tous les établissements, permettent aux MARPA de se distinguer des résidences autonomie.

Etablissement d'Hébergement pour Personnes Agées (EHPA)

L’Établissement d’Hébergement pour Personnes Âgées (EHPA) est une structure médico-sociale qui accueille principalement des seniors autonomes ou semi-valides. Les EHPA sont des établissements non médicalisés spécialisés dans l’accueil en chambre, ce qui les distingue des résidences autonomie, dont l'accueil est en appartement privé. 

Pour qui ? 

L’EHPA s’adresse plus spécifiquement à un public de personnes âgées de 60 ans et plus, présentant une perte d’autonomie plus avancée qu’en résidence autonomie. Les personnes âgées ont besoin d’aide plus régulièrement qu’en résidence autonomie. 

Les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer peuvent résider en EHPA aux premiers stades de la pathologie. Les activités et la vie en communauté auront un effet bénéfique et stimulant. Mais elles n’y bénéficieront pas de la surveillance médicale existant dans les Etablissements d'Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes (EHPAD) 

Quel prix ? 

Le coût de l’accueil en EHPA s’élève à environ 700 à 1 700 € par mois, le tarif diffère selon différents critères, à savoir : 

  • la taille du logement 
  • le niveau d'accompagnement 
  • la localisation 
  • le statut de la structure (privé ou public)


Quelles aides disponibles ? 

  • Allocation Personnalisée d'Autonomie 
  • Aide Sociale à l'Hébergement 
  • Allocation Personnalisée au Logement 

La différence entre un Établissement d'Hébergement pour Personnes Âgées (EHPA) et un Établissement d'Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes (EHPAD) réside dans le niveau de perte d’autonomie des personnes âgées accueillies. 

Les EHPAD sont des établissements médicalisés où le niveau d'accompagnement et le taux d'encadrement sont plus élevés que dans les EHPA. 

Résidence intergénérationnelle

Les résidences intergénérationnelles sont conçues pour accueillir un public intergénérationnel (avec un quota de personnes âgées). Leur programmation architecturale est adaptée aux besoins des personnes vieillissantes. 

Les différentes générations ne partagent pas le même toit mais vivent dans un même ensemble résidentiel. Ce sont en général des bailleurs sociaux en partenariat avec des associations ou des investisseurs privés qui initient ce type de projets. 

Pour qui ? 

Par définition, l’habitat générationnel s’adresse à tout le monde et à tous les âges. Les personnes âgées peuvent y trouver un environnement plus sécurisant et vivant. 
Les résidences intergénérationnelle conviennent aux seniors autonomes cherchant à vivre dans environnement sécurisé, et pouvant compter sur une solidarité de voisinage pour certaines activités de la vie quotidienne.


Quel prix ? 

Quand ils sont conçus par des bailleurs sociaux, les projets d’habitat intergénérationnel ont une vocation sociale. Le coût des loyers et des services est pensé pour convenir à des retraités avec des petits revenus. 


Quelles aides disponibles ? 

  • Allocation Personnalisée d’Autonomie - à domicile
  • Aide Personnalisée au Logement 

Un immeuble intergénérationnel est conçu dans une vision sociale et financièrement accessible. La résidence intergénérationnelle, propose des logements spécifiquement pensés pour des personnes âgées en légère perte d'autonomie. Au quotidien, les habitants les plus âgés peuvent compter sur un réseau de solidarité, d'entraide pour faciliter leur semaine. 

Cohabilis, Cohabitation intergénérationnelle solidaire & habitat partagé

Le réseau Cohabilis regroupe près de 40 structures qui mettent en œuvre sur le terrain des solutions d’habitat partagé. Son expertise fait de lui un représentant et promoteur majeur de la solidarité dans et par l’habitat comme levier de cohésion sociale. Créé après la canicule de 2003, il est expert de l’habitat intergénérationnel et a contribué à en faire un sujet de société.

Une manière de cohabiter 

La cohabitation intergénérationnelle solidaire, c’est une manière de cohabiter : c’est ouvrir son foyer aux autres pour en faire un lieu de convivialité, de partage, de rencontres… Il permet de bénéficier d’une compagnie bienveillante au quotidien.

La cohabitation intergénérationnelle solidaire repose sur le partage, l’échange entre deux générations qui s’apportent mutuellement un soutien, de l’entraide, des temps en communs, des discussions… le tout sur la base d’un volontariat spontané.
En proposant un logement intergénérationnel, les séniors contribuent à la mobilité des jeunes actifs ou les étudiants. 

Chaque situation est unique

Chaque cohabitation est donc tissée sur-mesure, en fonction des personnalités et des attentes de chacune et de chacun. La relation entre le senior et le jeune est encadrée par un contrat personnalisé et une charte. La cohabitation est toujours pensée à partir des souhaits de chacun. 

Pourquoi choisir Cohabilis ? 

  • Partenaire privilégié d'Esprit Retraite
  • 16 ans d’expérience, plus de 30 000 jeunes et seniors accompagnés
  • Vous êtes toujours rencontré chez vous par une structure locale expérimentée
  • Votre cohabitation est construite sur mesure, en fonction de vos attentes et de celles du jeune
  • La structure locale vous accompagne tout au long de votre cohabitation
  • Les profils des jeunes sont étudiés et validés par une personne expérimentée en amont
  • Vous êtes accompagné dans la rédaction du contrat convenu avec vous et le jeune

Vous vivez seule ou seul et cherchez un peu de présence dans votre quotidien ? Vous êtes sensible aux questions de solidarité et d’entraide ? Vous disposez d’une chambre libre dans votre logement et souhaiteriez aider un jeune à disposer d’un toit ?

La cohabitation intergénérationnelle va vous intéresser !

Pour en savoir plus, contactez Cohabilis:  09 72 63 88 46 

De précieux conseils pour votre recherche

 

Commune


La commune s'occupe des services de proximité via le centre communal d'action sociale (CCAS). Les conseillers sont les interlocuteurs de proximité à privilégier pour vous renseigner sur les logements, aides et services existants pour votre proche.

Rapprochez vous de la CCAS de votre commune pour obtenir des renseignements, ou sur leur site internet.

Département 


Le département est responsable de l'action sociale et de l'aide aux personnes âgées. Ils gèrent l'allocation personnalisée d'autonomie (APA), qui est une aide financière destinée à couvrir les dépenses liées à la perte d'autonomie. 

Vous pouvez contacter le département pour en savoir plus sur les critères d'éligibilité et le processus de demande, via leur site web officiel. Ils peuvent vous renseigner sur l'allocation personnalisée d'autonomie (APA) et les autres aides disponibles. 

Certains départements ont également des Maisons Départementales de l'Autonomie (MDA) qui centralisent les informations et les services pour les personnes âgées.

Région 


La région travaille en collaboration avec les communes, les départements et d'autres partenaires locaux pour coordonner les services d'aide aux personnes âgées. Ils peuvent soutenir des initiatives locales visant à favoriser le maintien à domicile des personnes âgées, en proposant des services de soutien à domicile et en facilitant l'accès aux soins et aux activités. 

Pour obtenir des informations plus précises sur les services et les programmes offerts par votre région, consultez le site web officiel de votre région ou contactez le service des affaires sociales de la région.

Il est important de noter que chaque territoire peut avoir ses propres spécificités et que les services disponibles peuvent varier. 

N'hésitez pas à contacter les services sociaux de la commune et du département pour obtenir des informations plus précises et des conseils adaptés à la situation de votre proche.

Groupes de protection sociale 


Votre organisme complémentaire santé (type : mutuelle), caisse de retraite complémentaire ou celle de votre proche peuvent jouer un rôle important dans l'aide à la recherche d'un nouveau logement adapté. Voici quelques éléments clés :

  • Informations sur les services : Votre organisme complémentaire santé (type : mutuelle), caisse de retraite complémentaire ou celle de votre proche peut fournir des informations et des conseils sur les services disponibles pour les personnes âgées. 


  • Aides financières : Certaines caisses de retraite complémentaires et organismes complémentaire santé (type : mutuelle) proposent des aides financières spécifiques pour les dépenses liées au logement des personnes âgées. Il peut s'agir d'aides ponctuelles ou régulières visant à couvrir les coûts de déménagement, d'adaptation du logement ou de frais liés à un hébergement en maison de retraite. 


GIR

Souvent utilisé par les professionnels du secteur, le GIR, ou Groupe Iso-Ressources, est un outil d'évaluation utilisé en France pour déterminer les besoins de perte d'autonomie des personnes âgées ou en situation de handicap. Il s'agit d'un élément clé dans le domaine de l'aide et de l'accompagnement à domicile.

L'évaluation GIR permet de déterminer le niveau de dépendance d'une personne en fonction de sa capacité à réaliser les actes essentiels de la vie quotidienne. Ces actes comprennent des activités telles que se laver, se nourrir, se déplacer ou encore s'habiller. En fonction de la capacité de la personne à effectuer ces tâches, elle se voit attribuer un score allant de GIR 1 (dépendance totale) à GIR 6 (autonomie complète).

La classification GIR est utilisée par les services sociaux et médico-sociaux pour déterminer les prestations d'aide et de prise en charge adaptées à chaque individu. En fonction du GIR attribué, des aides financières, des services d'aide à domicile, des aides techniques ou encore des solutions d'hébergement peuvent être proposés.

Calculez votre GIR 

Lorsque votre proche commence à faire face à une perte d'autonomie, il est important d'entreprendre certaines démarches afin de garantir un soutien approprié et de faciliter l'adaptation à cette nouvelle réalité. Voici quelques premières démarches à envisager :


Consultation médicale 

La première étape consiste à consulter un professionnel de la santé, comme un médecin généraliste ou un spécialiste, afin d'évaluer l'état de santé de la personne. Ce professionnel pourra identifier les éventuels problèmes de santé sous-jacents qui contribuent à la perte d'autonomie et recommander les traitements appropriés.

Évaluation des besoins 

Il est recommandé de faire évaluer les besoins spécifiques de la personne en termes de soins, de soutien et d'adaptations nécessaires dans son environnement. Cette évaluation peut être réalisée par un professionnel de la santé, un service d'aide à domicile, une équipe de soins palliatifs ou un organisme spécialisé dans l'évaluation des besoins des personnes âgées.

Recherche d'aides et de prestations 

Renseignez-vous sur les différentes aides financières, prestations sociales et services d'accompagnement disponibles pour les personnes en perte d'autonomie. Il peut s'agir d'allocation personnalisée d'autonomie (APA), de prestations liées à la dépendance, d'aides techniques, de services de soins à domicile, de portage de repas, etc. Adressez-vous aux services sociaux de votre région ou consultez votre mutuelle, caisse de retraite complémentaire pour obtenir des informations et des conseils sur les démarches à suivre.

Adaptation de l'environnement 

Il peut être nécessaire d'apporter des modifications à l'environnement de la personne afin de faciliter son autonomie et de minimiser les risques de chute ou d'accident. Cela peut inclure des aménagements spécifiques dans la maison, l'installation de rampes d'accès, la mise en place d'une salle de bain adaptée, etc. N'hésitez pas à demander l'aide d'un ergothérapeute ou d'un spécialiste de l'adaptation du domicile pour obtenir des recommandations personnalisées.

Ces démarches initiales constituent une base solide pour commencer à faire face à la perte d'autonomie. Il est également essentiel d'impliquer les proches, de partager les responsabilités et de rechercher des conseils auprès de professionnels spécialisés pour soutenir au mieux la personne concernée.


 Pour vous accompagner dans votre recherche, nous vous invitons à consulter les sites internet suivants : 

Pour les personnes âgées

  • Pour les personnes âgées : Portail officiel gouvernemental qui fournit des informations complètes et des conseils pratiques pour les personnes âgées et leurs proches. Le portail couvre divers domaines tels que la santé, les droits, les aides financières, les services à domicile et les structures d'accueil.


Ma boussole aidants

  • Ma Boussole Aidants : Plateforme dédiée aux aidants, offrant des informations, des conseils et des ressources pour accompagner les personnes qui prennent soin de leurs proches dépendants ou malades. Vous y trouverez entre autre de nombreuses indications sur les EHPAD (Etablissement d'Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes). 


France Alzheimer

  • France Alzheimer : Site officiel de l'association France Alzheimer, qui offre une vaste gamme d'informations, de ressources et de soutien essentiels aux personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer, ainsi qu'à leurs familles. 


Caisse d'Allocations Familiales

  • Caisse d'Allocations Familiales : Plateforme en ligne de la Caisse d'Allocations Familiales (CAF) offrant un outil de simulation pour aider les utilisateurs à préparer leur demande d'aide au logement.


Autres sites utiles 

  • Commune
  • Département
  • Région
  • Caisse de retraite complémentaire